16 septembre 2024
Inbound sales : révolutionner la vente avec une approche Client-centric
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10 mars 2015
On entend souvent dire que chaque mot compte dans une campagne d’emailing . Certes. Mais encore faut-il que son destinataire soit disposé à l’ouvrir et à en commencer la lecture… Car quel que soit l’attention portée au texte de vos messages, presque tout se joue sur le triptyque de l’adresse expéditeur, de l’énoncé de l’objet et de la première phrase.
A priori, rien de plus banal que cet aspect technique. Si ce n’est que votre adresse risque d’être lue par tout destinataire se demandant pourquoi un inconnu se met à lui écrire. Elle mérite donc toute votre attention sur deux points précis :
1.
Bannissez les envois depuis des adresses type Gmail, Yahoo, Hotmail et consorts qui risquent d’être assimilés à de l’amateurisme voire à une tentative de spamming.
2.
Pour les mêmes raisons, se pose aussi la question de savoir quoi faire figurer dans la colonne « « Expéditeur » de la boite mail de votre destinataire. Réticents à l’idée de se faire passer pour un ami (ou même une connaissance), certains choisissent tout simplement d’indiquer le nom de leur entreprise. D’autres misent au contraire sur la complicité en utilisant un prénom et un nom. Et si le bon compromis consistait finalement à tenter un mix de ces deux approches ? « Simon, de AppGratis », « Estelle, service client CHACUN SON CAFE », etc. Une telle solution présente l’avantage de personnaliser l’envoi tout en annonçant clairement sa finalité commerciale.
Cette expression anglaise définit parfaitement la ligne directrice de l’exercice : efforcez vous toujours d’être le plus concis possible. D’abord, un format trop long ne convient pas à la lecture sur mobile. Ensuite, les internautes ont de plus en plus tendance à survoler les objets des mails sans les lire vraiment. Enfin, une phrase de dix ou quinze mots évoque le spam à plein nez… A l’arrivée, une étude MailChimp portant sur 200 millions d’emails a démontré que le meilleur taux d’ouverture revenait aux objets compris entre 28 à 39 caractères.
En particulier dans le B to B visant des relations commerciales de qualité, un bon objet doit à la fois être incitatif via la technique du teasing (ouvrez vite, une bonne surprise vous attend…) et de l’urgence (plus qu’une semaine pour en profiter), sans tomber pour autant dans le racolage agressif (MEGA EXCLU jusqu’à midi : – 80% sur les roulements à billes !!!!!). Bref, tout un programme…
Dans l’esprit de votre destinataire, votre première phrase doit être en connexion directe avec l’objet de l’email client qui l’a poussé à l’ouvrir. Dans le cas contraire – c’est à dire si son esprit ne fait pas le lien – il risque d’interrompre instantanément sa lecture pour passer à autre chose.
Attention, ce n’est pas parce que votre première phrase se doit d’être incitative que vous pouvez céder aux ficelles de l’emailing bas de gamme… Par exemple, bannissez les mots en gras, les majuscules, les points d’exclamation, etc. En effet, si vous avez besoin de tels artifices pour attirer l’attention, il est urgent de revoir votre copie.
L’email commercial commençant par une question a au moins une vertu : si celle ci est pertinente, elle « contraindra » le lecteur à poursuivre sa lecture pour obtenir sa réponse.
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